Y’a d’la joie !

LM Avocats, c’est avant tout une belle rencontre. Celle de deux femmes qui, spontanément, ont senti qu’elles pouvaient compter l’une sur l’autre. Au point de s’engager ensemble dans une aventure entrepreneuriale autour des trésors du Droit Social, animées par un même objectif : créer un cabinet à leur image, chaleureux, probe et soigné. Dix ans plus tard, l’histoire leur a donné raison

Diane, la téméraire

D’un côté, il y a Diane Lemoine. Une femme qui ignorait qu’elle était destinée à devenir avocate, malgré des études brillantes en Droit, d’abord en France en Droit International, puis en Allemagne en Droit Comparé et de nouveau en France en Droit Médical. Si elle avait pu apprécier lors de ses précédents stages la rigueur du Pénal, elle n’en avait pas eu la révélation. À l’inverse du Droit Social, qu’elle découvre au détour d’une expérience auprès de sa tante magistrate au Palais de Justice à Paris. Une matière concrète, vivante et humaine qui la conforte dans l’idée de devenir une porte-voix utile.

À tout juste 22 ans, Diane rejoint en tant que collaboratrice un grand cabinet de la place parisienne spécialisé en Droit Social. Propulsée dans l’arène le lendemain de sa prestation de serment, on lui confie sa première défense prud’homale. Elle s’en souvient encore : contestation d’un licenciement pour faute grave suite à un vol de vêtements dans un entrepôt, qui impliquait l’intervention d’un détective privé. Très vite, Diane acquiert une pratique aguerrie, s’affirmant dans sa profession.

Le Droit Social est une matière concrète, vivante et humaine qui conforte Diane dans l’idée de devenir une porte-voix utile.

Florence, la volontaire

De l’autre, il y a Florence Monteille. Une femme qui ignorait aussi qu’elle allait devenir avocate, non par manque de vocation mais parce que l’avocature lui semblait trop élitiste. Et pourtant. Sur les conseils d’une bonne fée professeure de philosophie, Florence se lance dans des études de Droit à Lyon. Pour compenser son appréhension de l’échec, elle s’investit dans le travail, prenant conscience que la tâche est moins ardue qu’il n’y paraît. Elle est même plutôt plaisante, à la croisée de plusieurs disciplines qu’elle apprécie : philosophie, sciences humaines et histoire.

Ce faisant, Florence se positionne au rang des meilleures élèves jusqu’à choisir, en troisième année, un Master sélectif à Poitiers : le DJCE (Diplôme de Juriste Conseil). À 23 ans, elle rejoint l’école d’avocat à Nîmes. Une école ayant deux particularités : celle d’accueillir des élèves des Dom-Tom et celle d’imposer de passer le concours d’éloquence. Un cauchemar pour Florence qui, petite, frisait le rouge écarlate dès qu’il s’agissait de prendre la parole en public. Mais là encore, elle déjoue le sort et en ressort victorieuse. Après avoir finalement obtenu un certificat de spécialisation en Droit du Travail, Florence quitte le Sud pour Paris, où elle rêve d’habiter. C’est là qu’elle fait la rencontre déterminante de Diane.

Florence apprécie le Droit car elle l'estime à la croisée de plusieurs disciplines captivantes : philosophie, sciences humaines et histoire.

Une révélation

Nous sommes en 2004. Diane exerce depuis deux ans dans ce cabinet parisien tenu par trois associés. Lorsqu’elle voit arriver Florence, elle l’a prend instinctivement sous son aile. Portée par son altruisme, Diane lui montre les codes et les ficelles pour se repérer au mieux dans le monde judiciaire parisien.

À ses côtés, Florence gagne en assise et en légitimité. Jusqu’au moment où, à l’égal dans leur pratique professionnelle, elles se mettent naturellement à s’entraider et à se soutenir, sans même avoir à se le demander. Une sororité se dessine : solidaire, solide et authentique. Au gré de toutes ces années, Diane et Florence apprennent à se connaître par cœur, tissant un lien de confiance absolu.

Une sororité se dessine : solidaire, solide et authentique.

Le tournant entrepreuneurial

Au bout de 8 ans, l’évidence s’impose. Portée par l’impression d’avoir fait le tour de leur évolution dans ce cabinet, le binôme décide de monter le leur : LM Avocats. Un nom qui rend hommage à la qualité de leur relation – L pour Lemoine, M pour Monteille. Cette ambition correspond au moment où leur patron, sur le départ, leur propose de récupérer sa clientèle. Malgré un démarrage semé d’embûches, Diane et Florence honorent cet héritage, parvenant à imposer une approche centrée sur l’intérêt du client. Le duo se lance ainsi dans l’aventure entrepreneuriale. Débordé certes, mais solidaire et astucieux.

Désormais associées de LM Avocats, elles se lancent comme défi de défendre leurs dossiers le plus humainement possible. Leur éthique : être qualitatives sans être serviles. Leur méthodologie : faire des points réguliers pour exercer leur métier de manière harmonieuse, consciencieuse et sereine. Leur objectif : amener les entreprises à se professionnaliser et à se responsabiliser dans la gestion des ressources humaines. Pour plus d’équité, de bien-être et d’équilibre.

Dix ans plus tard, ce but est largement atteint, même si le duo vise à l’avenir plus d’innovations et de synergies avec les professions complémentaires à la leur. Alors, oui, 10 ans d’association, ça se fête. Car c’est sans doute là, dans cette complicité précieuse, que réside la clé d’un succès pérenne. Et, quelque part, mémorable.

Avec LM Avocats, Diane & Florence se lancent comme défi de défendre leurs dossiers le plus humainement possible.
No Comments

Sorry, the comment form is closed at this time.